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L’art du mandala connu de nombreuses cultures notamment chez les tibétains qui en réalisent des éphémères merveilleusement colorés auxquels j’ai pu assister, à La Rochelle, lorsque j’y vivais.
Ne pas oublier les amérindiens aussi. J’ai eu l’opportunité d’en voir se réaliser un à Limoges par deux amérindiens, il y a de très nombreuses années. C’étaient des indiens Navarro qui venaient en France pour harmoniser le masculin et le féminin alors malmené. Ce fut magnifique, tant en signification, vibration et en réalisation, mandala éphémère en sable coloré.
Celui-ci est issu d’un recueil de 24 mandalas à créer de Nito Vinzent Liebig, éditions « Savoir avoir pour être », datant de plus 25 ans . Je l’ai donc colorié selon mes inspirations d’alors à la gouache.
Je me suis ainsi plongée dans l’essence de la Terre mère et ses océans pourvoyeurs de vie et de richesse, univers merveilleux.
Jusqu’à une date récente, le principe du mandala a est utilisé dans certaines écoles, pour apaiser les élèves et les recentrer.
Alors, à nos palettes de couleur (gouaches etc.), crayons de couleur et autres pour s’y essayer, afin de sortir de ce monde où les fanas de technologie veulent supplanter la créativité humaine par l’IA…
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